Alors que nous entrons dans l’année 2025, le sentiment des investisseurs reflète un mélange de nouvelles tendances et de défis persistants. L’enthousiasme suscité par l’intelligence artificielle et les évolutions géopolitiques attire de nombreuses personnes, mais des problèmes sous-jacents tels que les coûts, le timing des investissements et les facteurs comportementaux demeurent significatifs. En nous appuyant sur des discussions avec les lecteurs de Canadian MoneySaver, nous identifions cinq préoccupations majeures qui illustrent comment la psychologie des investisseurs évolue plus lentement que les dynamiques du marché.
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Gérer la panique sur le marché et la gestion de portefeuille
Un investisseur a exprimé son inquiétude après avoir perdu son emploi fin 2023. À 60 ans, le stress engendré par les différends tarifaires en cours l’a poussé à liquider une part substantielle de ses actions, par crainte d’une répétition de la crise financière. Malgré une stratégie d’investissement à long terme qui avait précédemment porté ses fruits, il remet désormais en question ses décisions. Son désir d’éviter des pertes significatives l’a conduit à quitter le marché trop rapidement. Cependant, avec d’autres économies disponibles pour ses besoins de revenu, l’accent devrait être remis sur des stratégies à long terme.
Réévaluer les stratégies d’investissement
Mon conseil à cet investisseur est simple : si le marché descend en dessous de son point de vente, sa décision de vendre pourrait ne pas être une erreur. En revanche, si le marché augmente sans jamais revenir à ce seuil, il risque de manquer des gains substantiels. Historiquement, la plus grande folie des investisseurs réside dans la tentative de synchroniser leurs opérations avec le marché. Il est courant de vendre quand il faudrait acheter, et vice versa. Reconnaître que les marchés sont cycliques est crucial ; un plan d’investissement solide doit être suffisamment résilient pour traverser ces fluctuations.
En réfléchissant à son succès passé, il est essentiel d’adopter une approche disciplinée pour réacquérir des actions versant des dividendes. Établir une stratégie d’achat, comme investir progressivement un pourcentage fixe chaque mois, peut s’avérer bénéfique. Si le marché subit un recul significatif, il aura la flexibilité d’ajuster son rythme d’achat en conséquence.
Identifier les opportunités dans le paysage de l’IA
Un autre investisseur est fortement intéressé par la montée de l’IA générative. Avec des entreprises comme Nvidia en tête de la production de puces, il recherche des actions moins connues qui pourraient bénéficier de cette tendance. Cependant, cet investisseur fait face à un défi : la fenêtre de découverte de ces pépites se réduit à mesure que le marché mûrit.
Comprendre le paysage concurrentiel
De nombreuses entreprises ont déjà gagné en reconnaissance pour leur rôle dans le secteur de l’IA, des fabricants de puces à ceux fournissant une infrastructure essentielle pour les centres de données. Des acteurs majeurs comme Alphabet, Amazon et Microsoft surfent sur les avancées de l’IA, tandis que d’autres, comme Equinix et Broadcom, en tirent également des avantages. La recherche d’opportunités non découvertes dans un marché déjà mature peut ressembler à une quête de la aiguille dans une botte de foin.
Pour donner une idée, la capitalisation boursière de Nvidia a explosé pour atteindre 4,6 trillions de dollars, une augmentation spectaculaire par rapport à 14 dollars à la fin de 2022. En revanche, des entreprises comme Vertiv, spécialisée dans les solutions de refroidissement avancées pour les centres de données, sont présentées comme de potentielles pépites cachées. Avec une capitalisation boursière d’environ 50 milliards de dollars, Vertiv est nettement moins valorisée que Nvidia, mais elle n’est pas aussi méconnue qu’on pourrait l’espérer.
Évaluer l’efficacité de la gestion financière
De nombreuses personnes, en particulier les professionnels occupés jonglant avec la vie de famille, choisissent d’externaliser la gestion de leurs investissements. Un couple, par exemple, a engagé un conseiller financier qui facture des frais fixes pour ses services de conseil. Cependant, ils commencent à remettre en question les coûts associés à leurs allocations actuelles de fonds communs, qui comportent des ratios de frais de gestion (MER) substantiels.
Explorer des alternatives rentables
À mesure que la richesse s’accumule, il est essentiel d’examiner les frais associés aux investissements. Des MER élevés peuvent éroder les rendements potentiels au fil du temps, rendant vital de considérer des alternatives comme les fonds négociés en bourse (ETFs), qui affichent généralement des frais plus bas. Au Canada, le MER moyen est d’environ 2,23 %, contre seulement 0,66 % aux États-Unis. Cette disparité souligne la nécessité de changements réglementaires pour promouvoir la transparence et réduire les coûts d’investissement.
L’Australie est un exemple de pays ayant mis en œuvre des réformes pour encourager des options d’investissement à faible coût et à haute performance au sein de leur système de retraite. De telles initiatives favorisent une culture qui privilégie la valeur, ce qui est crucial pour une croissance financière à long terme.
Prendre des décisions éclairées dans un marché volatil
Un investisseur a exprimé son inquiétude après avoir perdu son emploi fin 2023. À 60 ans, le stress engendré par les différends tarifaires en cours l’a poussé à liquider une part substantielle de ses actions, par crainte d’une répétition de la crise financière. Malgré une stratégie d’investissement à long terme qui avait précédemment porté ses fruits, il remet désormais en question ses décisions. Son désir d’éviter des pertes significatives l’a conduit à quitter le marché trop rapidement. Cependant, avec d’autres économies disponibles pour ses besoins de revenu, l’accent devrait être remis sur des stratégies à long terme.0
Repenser les biais émotionnels
Un investisseur a exprimé son inquiétude après avoir perdu son emploi fin 2023. À 60 ans, le stress engendré par les différends tarifaires en cours l’a poussé à liquider une part substantielle de ses actions, par crainte d’une répétition de la crise financière. Malgré une stratégie d’investissement à long terme qui avait précédemment porté ses fruits, il remet désormais en question ses décisions. Son désir d’éviter des pertes significatives l’a conduit à quitter le marché trop rapidement. Cependant, avec d’autres économies disponibles pour ses besoins de revenu, l’accent devrait être remis sur des stratégies à long terme.1
Un investisseur a exprimé son inquiétude après avoir perdu son emploi fin 2023. À 60 ans, le stress engendré par les différends tarifaires en cours l’a poussé à liquider une part substantielle de ses actions, par crainte d’une répétition de la crise financière. Malgré une stratégie d’investissement à long terme qui avait précédemment porté ses fruits, il remet désormais en question ses décisions. Son désir d’éviter des pertes significatives l’a conduit à quitter le marché trop rapidement. Cependant, avec d’autres économies disponibles pour ses besoins de revenu, l’accent devrait être remis sur des stratégies à long terme.2