Le paysage des locations de vacances subit des changements significatifs, notamment en raison de nouvelles mesures fiscales. À Rhode Island, une loi récemment adoptée, surnommée taxe Taylor Swift, impactera les propriétaires de biens immobiliers à temps partiel gérant des locations de vacances. Cette loi illustre une tendance croissante à travers divers États, où les municipalités imposent des taxes supplémentaires sur les résidences secondaires.
Alors que les gouvernements locaux s’efforcent de générer des revenus et de faire face à la pénurie de logements, des tensions émergent parmi les professionnels de l’immobilier, les gestionnaires de biens et les propriétaires fortunés. Cet article examine les implications de cette taxe et son impact potentiel sur le marché des locations de vacances.
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Comprendre la taxe Taylor Swift
À compter du 1er juillet 2026, la Loi sur la taxe des propriétés non occupées par leur propriétaire imposera un supplément annuel sur les résidences non occupées par leurs propriétaires pendant au moins 183 jours par an, visant spécifiquement celles d’une valeur supérieure à 1 million de dollars. Cette législation exige un impôt supplémentaire de 2,50 $ pour chaque tranche de 500 $ de valeur cadastrale dépassant ce seuil.
Par exemple, un bien d’une valeur de 3 millions de dollars subirait un supplément annuel d’environ 10 000 $, en plus des taxes foncières standard. Notons que la pop star Taylor Swift devrait contribuer environ 136 000 $ par an en raison de sa résidence à temps partiel dans le Rhode Island, d’où le surnom de cette taxe.
Objectifs de la taxe
L’objectif principal de ce supplément est de générer des fonds visant à soutenir des initiatives en matière de logement et à lutter contre l’augmentation des logements vacants. Toutefois, pour les opérateurs de locations à court terme, cela pourrait entraîner de graves répercussions financières. Ils seront soumis à des taxes non seulement sur leurs revenus locatifs, mais également sur la nouvelle taxe Taylor Swift, s’ils exploitent leur propriété plus de la moitié de l’année sans établir de baux à long terme.
Implications plus larges à travers les États
Rhode Island n’est pas le seul État à adopter de telles mesures. Par exemple, le Montana prévoit de mettre en œuvre des réformes similaires à partir de 2026, classant les propriétés selon leur statut d’occupation. Les résidents secondaires seront soumis à un taux d’imposition forfaitaire de 1,90 %, contrairement aux taux par paliers pour les locations à long terme et les résidences principales.
Dans le Montana, ceux qui habitent leur maison pendant au moins sept mois pourraient bénéficier de taux réduits, tandis que les propriétés de grande valeur supporteront probablement un fardeau fiscal plus lourd en raison de taux accrus. Cela illustre une tendance croissante où les États adoptent une approche plus proactive pour gérer les pénuries de logements et la fiscalité.
Impact potentiel sur les propriétaires
La communauté immobilière a exprimé des inquiétudes concernant ces nouvelles taxes. De nombreux professionnels affirment qu’elles pénalisent ceux qui contribuent positivement aux économies locales en dépensant lors de leurs visites. Par exemple, Donna Krueger-Simmons, agente immobilière à Watch Hill, soutient que ces résidents à temps partiel ne devraient pas être punis pour leur statut de résidence duale.
De plus, les courtiers craignent que des impôts élevés n’incitent les propriétaires de biens de vacances à chercher des alternatives dans des zones avec des structures fiscales plus favorables, ce qui pourrait conduire à un ralentissement de l’économie locale.
Approches alternatives pour la gestion des propriétés
Alors que le marché des locations à court terme continue d’évoluer, il est crucial pour les propriétaires d’explorer des stratégies innovantes. Un modèle en plein essor est celui des locations à moyen terme, qui comble le fossé entre les baux traditionnels et les séjours de courte durée. Ce modèle offre flexibilité, attirant des locataires nécessitant des logements pour des périodes de 30 jours à neuf mois.
Alors que les gouvernements locaux s’efforcent de générer des revenus et de faire face à la pénurie de logements, des tensions émergent parmi les professionnels de l’immobilier, les gestionnaires de biens et les propriétaires fortunés. Cet article examine les implications de cette taxe et son impact potentiel sur le marché des locations de vacances.0
Comment réussir avec les locations à moyen terme
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